Depuis quelques jours, les répercussions du conflit syrien se font ressentir de plus en plus fortement au Liban. Après l’humiliation d’un Alaouite à Tripoli par des sunnites, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a confirmé l’implication des troupes de son parti aux côtés des forces de Bachar Al-Assad, notamment dans le bombardement de Homs.
La coalition du 14 mars, pro-occidentale, a quant à elle, dénoncé les engagements du Hezbollah aux côtés du régime syrien, qui risque de conduire l’Etat libanais dans un nouveau cycle de violence et de discorde.